Quelle stratégie pour Swisscom, qui vient de racheter Vodafone Italie, et qui appartient à 51% à la Confédération ? Faut-il vendre la société et la livrer aux marchés ? La garder précieusement dans le giron public ? Ou encore conserver la partie infrastructures publiques, et vendre l’opérateur commercial ?
Autant de questions évoquées ce vendredi 3 mai à Berne par le Conseil fédéral et les chefs des partis politiques lors des habituels entretiens de Watteville.
Ces entretiens étant confidentiels, on n’a pas de tendance. Le sujet viendra ces prochains mois sur la table du Conseil fédéral et du parlement.
Pour le chef du groupe socialiste au parlement Samuel Bandahan, il faut absolument conserver Swisscom en mains publiques.
Et si vendre Swisscom permettait de renflouer les caisses de la Confédération ? Très mauvaise idée, affirme Samuel Bendahan.
Un sujet préparé par Serge Jubin.