Les marcheurs des traces du climat ont terminé ce lundi à Genève leur traversée de la Suisse. 700 kilomètres à pied l’espace de 6 semaines. Le groupe a compté 20 à 50 marcheurs par jour, avec un noyau de 5 convaincus qu’il faut agir à l’échelle locale aussi pour protéger le climat.
Fil rouge de l’expédition : aller voir dans le terrain ce qui se fait pour lutter contre le réchauffement et échanger.
L’une des marcheuse, la biologiste valaisanne désormais enseignante à Neuchâtel Lucie Wiget.
Comment interpréter ce hasard ? Les marcheurs du climat ont surtout dû lutter contre la pluie et les températures frisquettes. Lucie Wiget.
Les marcheurs ont donc voulu donner une autre couleur à leur expédition que celle du catastrophisme. Ils veulent proposer des solutions et convaincre que le changement est possible. Quel bilan de l’opération ? Lucie Wiget.
Des marcheurs sur les traces du climat, des Grisons à Genève