Les deepfakes sont devenues une source supplémentaire de désinformation et d’abus sur les réseaux sociaux. La Fondation TA-Swiss, qui évalue les nouvelles technologies, l’a démontré dans une étude présentée mardi 18 juin 2024 à Berne.
Les deepfakes ? Définition avec la cheffe de projet chez TA-Swiss Laetitia Ramelet.
Problème : ces contenus souvent déplaisants sont difficiles à détecter, tant l’imitation est souvent de qualité.
Les deepfakes sont-ils forcément néfastes ? On retrouve Laetitia Ramelet de TA-Swiss.
Pour la fondation TA-Swiss, il n’y a pas de remède miracle dit-elle, mais il est possible de réglementer les publications.
La riposte aux deepfakes néfastes doit aussi se faire à large échelle. L’Union européenne a adopté des réglementations./sj