Les droits de certains requérants d’asile doivent être restreints: c’est l’avis du Conseil national, qui a adopté mardi une motion du groupe UDC.
Le texte propose de mettre fin au regroupement familial pour les personnes admises à titre provisoire. Il a été soutenu par 105 voix contre 74 et 9 abstentions. Les précisions du conseiller national UDC Jean-Luc Addor :
Le Conseil fédéral et la gauche ont tenté en vain de s’opposer à cette motion, au nom du respect des droits humains. La réaction de Martine Docourt, conseillère nationale socialiste :
La motion doit encore passer devant le Conseil des États. /mv