Ce devait être l’événement phare de l’année pour les écologistes: jeunes et moins jeunes étaient invités à descendre dans les rues ce vendredi à l’occasion de la Grève pour l’avenir.
Mais là aussi, la crise sanitaire est passée par là. L’interdiction des rassemblements prononcée le 20 mars par le Conseil fédéral a forcé les organisateurs à revoir leur copie. Avec, à la clé, déception et inquiétudes.
Notre correspondante à Berne, Hélène Jost, s’est entretenue avec Robin Augsburger, militant neuchâtelois de la Grève du climat.
Pour marquer cette journée malgré tout, les organisateurs ont prévu diverses activités, dont une webradio et un concours de banderoles. A 11h59, les sympathisants sont également appelés à faire du bruit chez eux ou dans la rue pour sonner « l’alarme climatique ».