L’écologie de droite a elle aussi le vent en poupe. Raisonnable, le PVL est optimiste. En 2015, les Vert’libéraux avaient perdu des sièges, voyant leur représentation au Conseil national passer de 12 à 7 membres (ils sont aujourd’hui 8, après l’arrivée récente d’un dissident socialiste).
Et lorsque le président historique et fondateur du parti, Martin Bäumle, a passé la main deux ans après les élections, certains y ont vu un coup dur, voire fatal, pour la formation.
Mais l’importance des questions climatiques dans le débat public lui profite aujourd’hui: les sondages lui promettent 2,3% de voix supplémentaires. Jürg Grossen, président du parti vert’libéral.
Les Vert’libéraux plaident notamment pour une taxe sur les billets d’avion, la production d’énergie par chaque bâtiment et des mesures dans l’agriculture et la finance. Ils visent dix sièges cet automne.
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