La consommation de crack reste très préoccupante en Suisse. La cocaïne est plus accessible, moins chère et avec un taux de pureté élevé.
De nombreuses villes font face à un usage problématique de cette drogue, dans l’espace public, parfois couplé à du deal de rue. Elles ont mis en place toute une série de mesures, par exemple de nouveaux locaux de consommation, des travailleurs sociaux et des médecins dans les rues. Mais la situation ne s’est pas améliorée pour autant. Les précisions de Frank Zobel, directeur adjoint de la fondation Addiction Suisse :
L’évolution de la consommation de crack est difficile à cerner, car il n’existe pas d’indicateurs au niveau national. Les précisions de Frank Zobel:
La Suisse n’est pas la seule touchée par la consommation élevée de crack, relève Frank Zobel. Toute l’Europe fait face à une offre foisonnante de drogues bon marché. /mv