La vague verte le 20 octobre dernier fut double : celle des Verts de gauche, passés de 10 à 27 conseillers nationaux, et celle des Vert’libéraux, installés au centre de l’échiquier, passés de 7 à 16 sièges.
Pour le tout jeune Parti vert’libéral, créé en 2007, implanté avant tout en Suisse alémanique, il s’agit d’un succès inespéré. Qui n’est pas sans poser quelques problèmes logistiques et de coaching d’un groupe parlementaire paritaire, comptant 8 femmes et 8 hommes, 3 Romands et 13 Alémaniques.
Le dossier de ce lundi est consacré au succès des Vert’libéraux. A Berne, Serge Jubin.
Elections fédérales 2019: les enjeux pour les Vert’libéraux avec leur président Jürg Grossen