Les contributions de solidarité doivent profiter pleinement aux victimes. Le Conseil fédéral l’a annoncé mercredi, le versement de 25’000 francs aux personnes ayant fait l’objet de mesures de coercition par le passé ne doit pas leur faire perdre d’autres prestations.
Cette décision intervient alors que différents objets sont pendants au parlement pour améliorer la situation des victimes, et notamment leur permettre de faire une demande de réparation même à présent que le délai fixé est échu. Un délai qui sonne comme une mesquinerie.
Et ce n’est pas la seule, aux yeux de Jérôme Favre. C’est son «regard des pas perdus».
C’était l’«autre regard» de Jérôme Favre, l’un de nos correspondants à Berne.