Le 3e parti politique du pays, le PLR, n’élira pas seulement un nouveau président le 2 octobre, mais carrément une équipe présidentielle avec à sa tête l’Argovien Thierry Burkart et 4 vice-présidents. La procédure exige une adaptation des statuts.
Thierry Burkart a-t-il fomenté une forme de putsch à l’insu des instances et de l’assemblée des délégués du PLR ?
C’est le sujet de la chronique des pas perdus de cette fin de semaine, avec à Berne, Serge Jubin.