Chroniques

Chronique des pas perdus : une place vide à la Banque nationale qui préoccupe

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C'était la direction générale de la Banque nationale suisse en juin : Martin Schlegel, le président Thomas Jordan et Andréa Maechler. Le siège de la Romande est vide depuis deux mois (Keystone)

C’est une institution centrale dans une Suisse où l’industrie de la finance est un pan économique majeur. La Banque nationale joue un rôle décisif pour la stabilité de la place financière et, globalement, pour l’économie. Elle dispose de moyens considérables.

Or, depuis 2 mois, l’un des trois sièges de sa direction générale est vide.

A l’enseigne de la chronique des pas perdus, notre correspondant à Berne Serge Jubin estime qu’il faut s’en inquiéter.