Chroniques

Chronique des pas perdus : la Banque nationale sans le sou

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Le patron de la Banque nationale, Thomas Jordan, lors d'une conférence (Keystone)

Pourtant sans surprise, l’information donnée cette semaine par la Banque nationale suisse qu’elle ne versera rien à la Confédération et aux cantons a suscité l’émoi. Surtout dans certains cantons.

La BNS est-elle-vraiment sans le sou ? N’est-ce pas son rôle de verser un dividende à ses propriétaires ?

La réponse est diamétralement opposée, suivant qu’on est ministre des finances ou patron de la banque centrale. C’est le sujet de la chronique des pas perdus de notre correspondant à Berne Serge Jubin.