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Albert Rösti, conseiller fédéral depuis (presque) 100 jours. Ministre de l'énergie et des infrastructures

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Les 100 jours d’Albert Rösti au Conseil fédéral. Après l’ancien chantier naval du Schiffbau à Zurich choisi par Elisabeth Baume-Schneider lundi, le nouveau conseiller fédéral UDC a fait le bilan de ses premiers pas à l’exécutif dans l’ancienne centrale hydraulique de la Matte, sur l’Aare, ce vendredi matin 31 mars à Berne.

Albert Roesti met la sécurité de l’approvisionnement énergétique au centre de son action. Energies renouvelables, mais il ne ferme la porte à aucun développement technologique.

Autre priorité du ministre UDC : l’égalité de traitement des villes et des campagnes, de la route et du rail. Ecoutez-le au micro de Serge Jubin.

Albert Roesti a aussi avoué que le rythme d’activité d’un conseiller fédéral est très soutenu, qui plus est au département mammouth de l’énergie, de l’environnement, des infrastructures et de la communication.

A-t-il vu apparaître des cheveux gris sur sa tête ? Albert Rosti.

Albert Rösti a deux échéances importantes : la votation du 18 juin où il défendra la loi climat, contre laquelle son parti a lancé le référendum. Il veut aussi faire aboutir au parlement la loi sur l’approvisionnement énergétique, que l’UDC rejette !

Albert Roesti s’inscrit-il en opposition de son parti ?

Albert Rosti a peu parlé d’autres domaines de son département : le soutien des médias, ou la défense de la biodiversité. Il n’a même pas prononcé ce mot.

Un dossier préparé par notre correspondant parlemantaire Serge Jubin.